Blog des 5èmes de Gatti

Ce 28 mars, les classes de 5ème de Gatti ont quitté l'école direction les chateaux de la Loire.

Dès 7 heures, ils étaient sur le pied de guerre. Si si. Un long trajet plus tard, un retard déjà assumé, voilà Chambord et notre débarquement: une bonne cinquantaine à se déverser sur ce parking!  On commence par des exposés d'élèves puis, moins attirant (et oui) les visites guidées ... il faudra qu'on trouve un moyen pour que ce soit mieux. A penser donc.

Puis Tours et son auberge, Tours et son restaurant Le Gaulois. Rencontre aussi avec Jean-Marie, notre très sympathique chauffeur.

Promenade digestive dans le centre-ville. ET démonstration de capoeira ... sur fond de frites et autres desserts sauce élèves.

La soirée - pour le malheur des pauvres professeurs- tend à se poursuivre à l'auberge. Et puis ces douches à 2.00, s'il vous plaît!

Moins fiers le lendemain, hi hi, vers 7 heures.

On repart sous la pluie, dommage pour la visite du chateau de Chenonceau, pour les exposés en plein air, mais surtout de ses jardins noyés sous la bruine. Le bus vers Blois ressemble étrangement à un dortoir.

La jeunesse s'égaye dans les rues de Blois, puis on se retrouve pour visiter le chateau. Contexte historique pris en charge par les élèves puis guide: j'appréhende ... mais non, quelle super guide nous avons eue! Un moment d'anthologie: l'analyse du tableau du Duc de Guise et d'Henri III.

Au retour, repas au Gaulois et soirée en ville. Un peu moins d'énergie "apparente", mais toujours une certaine bonne humeur.

Et puis, vendredi, c'est le début du retour. Bagages, embarquement, exposés micro puis une dernière visite pour la route: Versailles. Ses salles et ses jardins. Ses guides plein d'entrain. Retour à la fois gai et chagrin: contente de ces moments partagés mais un peu triste que ça s'achève. 

Mais, même dans le bus du retour, on n'a pas le temps de s'ennuyer,  gsm, sacs et autres oublis sont là pour nous rappeler à l'ordre.

Un merci au 5a et 5b pour leur implication, leur attitude, leur humour et le reste.

S. Ferreira